Conclusion

Les mathématiques ont été transformées par l’invention de l’algèbre. Les problèmes pour le partage des terres et d’héritages ont entraînés l’invention des équations. Les équations ont été développées dans les grandes villes où le commerce régnait. Les Grecques et les babyloniens furent les inventeurs des équations. Puis les Arabes ont classifiés les équations du second et troisième degré avec Omar Khayyâm et Al Khawarizmi principalement. Enfin les Italiens avec le troisième et le quatrième degré. Les équations ont permis la perspective notamment dans l’art italien du XIX° siècle, les cartes géographiques, etc. On voit ainsi à quel point les contributions des savants et des mathématiciens ont fait déboucher l’algèbre sur de nouvelles perspectives théoriques.

 

 

 

 

 

 

Bibliographie

 

Zoulikha : -Ahmed Djebar, « le nombre la racine et le bien » ; dans Le cahier de science et vie; en avril 2000 N°56 : l’origine des équations p 42-48.

-Vanton Jean Michel, « Perrine et son panier d’œufs », dans Cosinus en janvier 2002 N°24 : p12

 

Diana : -Boudine Jean-Pierre et Djebar Ahmed,  « Omar Khayyâm », dans science et vie junior, en mars -avril 2003 : Les équations du second degré.

-Tony Lévy, « L’algèbre en Europe enquête sur un héritage, Giovanna Ci Foletti Cardan : l’empreinte d’un nouveau stipe dans les cahiers de science et vie.

 

Safia : -Djebar Ahmed, « folle histoire de l’algèbre », en mars –avril 2003 : Les équations du second degré, dans science et vie junior.